La grimeuse d’à coté , un jour, a dit « y’a pas de quoi, je suis là pour ça»!
Vingt mille lieux dans l’introspection d’un endroit visiblement trop petit. L’effort de dépourvue scindant ne manque pas de lacune d’apparence. Je me suis engagé de régler la garantie d’une bipolarité de personnalité singulière.
Le dossier est sans trop malveillant, mais il contient quand même son lot de rebrousse poil. Je me suis levé, lavé ce matin en me disant que j’avais un arrière-gout de suspicion nocturne dans la pensée. Serait-ce mon érection matinale assujetti d’une dureté d’esprit, ou l’effet d’une journée qui s’annonce maussade qui me donne cette difficulté d’élucider? Malgré tout, je suis heureux et souriant.
Moins perspicace d’odorat avec le nez rempli de substance virale hivernale, surtout mal mouchée de la veille, j’ai peine à savoir la dose prescrite d’eau de toilette pour ne pas trop sentir la défection. C’est de la bonne quand même, à 150$ l’once, ça devrait le faire.
HA! Oui, j’ai omis de vous dire que je ne suis plus sous l’effet incontrôlable des manipulations substantielles. Je me suis épris d’un autre mal d’aimer.
Chaque fois que j’ouvre la porte, je sors de moi-même, je ne me sent plus chez moi. Avec raison, vous direz, l’inopportun n’appartient à personne, mais quand même, il doit exister un sentiment de réconfort pour l’égarement.
Je tenterais de résoudre cette ambivalence plus tard, pour l’instant la priorité est de rester éveillé au sujet. Du fantastique pour les fantasmiques, ça ressemble aux craques sur la devanture du visage de la grimeuse d’à coté. Tellement fardé, de vieillesse pour commencer, agrémenté de la gamme entière de soins de beauté de «Claire Lune Beauté Soleil pour la vie», pavé de sont maquillage qui laisse malgré tout entrevoir les traces du fracas de son âge avancé, et ce malheureusement pour sa clientèle, trop proche de la mort.
Elle tire, étire, ici et là les gens, les tarots flippent solide, les cartes sont jetées avec une telle assurance d’abject hasard. Les histoires ressortent des cartes aussi bien qu’une comptine d’enfant apprise par cœur. Parfois des dénouements heureux, quelques sourires, se font voir à la sortie. Faut juste pas trop rêver, les previews ne sont pas toujours emballés. La masturbeuse d’intellect facile en profite pour se faire la vie simple, se prônant prédicteuse du futur et visionnaire du passé.
Les gens s’ouvrent ainsi sur la table de cette prophétesse rafistolée au make-up bon marché du Wal-Mart du coin. Mais bon, ma dévolue y a déjà fait don, par plaisir de curiosité, à donner une couche de plus dans les crevasses de la vieille femme d’a coté. Elle m’avait prédit de me méfier d’éventuelle plénitude d’un succès latent. Je suis resté poli quand même dans mon éclat de rire.
D’emblé, je ne suis pas fervent des intellects mensongers. Cette fois-ci, j’ai bien aimé son compte rendu mal habile d’affluence de graissage de tristesse. Parce que les gens confiants ne s’affaissent pas sur une table remplie d’aléatoire en carton.
Ça prend du solide! Les étoiles, les astres sont là pour briller. Ce n’est plus un mystère, le pourquoi, ils flottent autour de nous, le fondement du pourquoi, lui, en est pour un conteneur de scepticisme suppositoire. Pourquoi j’allusionne les astres? Parce qu’elle prédit aussi avec cet instrument précis de prédilection. Elle a un contact particulier avec cet univers.
D’année assez lointaine pour ne plus avoir de doute sur son expérience du métier, j’ai quand même pris un effrontément minime à lui demander combien d’années elle prédit son jadis passé de l’emploi. Sans être le moindrement offusqué, elle me répondit que d’assez jadis qu’elle et sa famille son arrivé en ces terres, toutes les femmes y pratiquent ce don, transmit de génération en génération. Sur le cul, je suis tombé, vous en consentirez. Non surpris autant du fait que ça doit être les meilleures liseuses de cartes, mais que j’ai eu droit de jouir de son expertise plus que centenaire.
Quelque jours après m’être remis de ses bonnes prédilections, j’entame donc de me critiquer l’intellect pour n’être plus ce que j’étais avant cette rencontre. J’ai pour but de ne plus me corrompre au superflu des sous jacents. À partir de maintenant j’entreprends une cure de négativisme pour me sortir de mon cyclone compensatoire. Pratiquement, je devrais, pour se faire, m’auto mutiler l’orifice anal à grand coup de métatarse et de tarse, espérant éviter l’entrer des phalanges dans le sphincter. À vrai dire, je devrais n’utiliser aucune béquille pour faire cette manœuvre. Le risque de blessure grave pourrait en être qu’agrandi où l’orifice du cordon du cœur trainait.
Signé…RCC
et profitez en bien… y’a pas de quoi, je suis là pour ça.
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